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Le coût de la maîtrise d'œuvre
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1% de plus dans la rémunération du prestataire coûte moins cher qu’1% de plus de travaux
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Quel est le coût réel d’un maître d’œuvre ?
Le montant des honoraires constitue l’élément le plus évident, toutefois il ne représente que la face visible de l’iceberg. Par excès de sécurité ou défaut de réflexion suffisante, voire de compétence, un maître d’œuvre peut concevoir des travaux qui vont revenir plus chers que de nécessaire, par leur tracé planimétrique et altimétrique, leur capacité, la corrélation entre les différents réseaux, et leurs caractéristiques.
Comme pour un architecte, la capacité à maîtriser un chantier varie beaucoup d’un prestataire à un autre.
Le risque de dérapage est grand, que cela soit dans le contrôle des quantités, le suivi de la mise en œuvre, le respect du planning, ou la limitation des travaux supplémentaires. Les conséquences financières sont, soit directes par un coût additionnel, soit indirectes par un retard dans la livraison des travaux ou l’obligation de reprise ou d’apport de compléments.
1% de plus dans la rémunération du prestataire coûte moins cher qu’1% de plus de travaux. -
Le BAFU conçoit et réalise des bassins de rétention d’eaux pluviales pour limiter de débit des rejets, et ce depuis les années 80 bien avant les obligations légales actuelles. Il défend le principe de ne pas mettre en réseau toutes les eaux pluviales, en distinguant les « propres » qui doivent être infiltrées sur place pour continuer d’alimenter le sol et le sous-sol à l’endroit où elles tombent du ciel. Cette vue technique va à l’encontre « du tout canaliser » conduisant à des réseaux de plus en plus importants et couteux avec les surcharges, qui, depuis, engendrent des difficultés de gestion en aval et même des inondations.
De longue date, le BAFU propose des voies en site propre pour les transports en commun. Il intègre la problématique de l’imperméabilisation excessive des sols et conçoit des voies non surdimensionnées.
Le BAFU est ouvert aux nouveaux matériaux, aux progrès technologiques et aux procédés respectueux de l’environnement, comme la mise en œuvre de matériaux de recyclage. Il est attentif à limiter les apports et les évacuations, en proposant par exemple la valorisation sur place des roches extraites en terrassement pour la fondation des voiries.
Dans sa mission de maîtrise d’œuvre, le BAFU s’engage dans le respect de l’environnement.