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Le foncier
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Le BAFU peut devenir l'interface entre les collectivités territoriales, les porteurs de projets et les propriétaires.
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Le foncier est une clé, un sésame. « Qui détient le foncier tient l’aménagement. » est un postulat souvent avéré.
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Certes, lorsque l’utilité publique est accordée, la mise en œuvre d’appropriation publique, telle l’expropriation, donne à la collectivité le dernier mot.
Mais le temps consacré, l’énergie déployée, le coût des prestations affectées pèsent lourdement.
La mise en place d’une politique foncière, nécessairement anticipatrice, et l’emploi de procédures impliquant les propriétaires (telle l’AFU) présentent une alternative.Dans le cadre des décisions sur le devenir du territoire prises par la collectivité, nous incitons à une bonne connaissance et au respect de la propriété foncière.
Cette démarche est essentielle en milieu rural et périurbain, dans un contexte où l’élu est une personne que l’on côtoie, qui salue les enfants, fréquente les parents, se rappelle des cousins …
Le défaut de dialogue ou l’emploi d’une procédure de contrainte présentent un risque de sanction politique. -
Pour la réalisation d’un projet, le BAFU entretient avec les propriétaires de longues relations de confiance.
Ils sont souvent soit jardiniers, soit issus de familles d’agriculteurs ou d’origine noble ou bourgeoise, ou encore des investisseurs fonciers, etc…. Le BAFU est leur conseiller en terme de valorisation foncière et de gestion patrimoniale. -
Le BAFU peut devenir l'interface entre les collectivités territoriales, les porteurs de projets et les propriétaires.